Ecrimagineur

Je suis heureux de vous accueillir dans mon blog ! Vous y trouverez des textes, de la poésie, des souvenirs de vadrouilles et de voyages intimes, que j'ai écrits, seul ou dans un atelier d'écriture, depuis 2001... J'ai pour sujets d'inspiration un thème imposé, un texte, une photo, un tableau, une musique, ou un morceau de mon existence...
Les "Ecrimages" sont les résultats de ces rencontres entre la lettre et l'image...
Je serai ravi de lire vos commentaires : Merci !
Loïc

vendredi 29 août 2014

jeudi 28 août 2014

Des horloges et des pendules, en rase campagne ...


Mais que font-elles, ici, et ainsi disposées ? 
Décoration, élucubrations d'un farfelu, d'un illuminé ? 
pari aviné ? manifestation ?
philosophie, misanthropie ? ...
Admiration, oui, pour les merveilles de Fée Electricité !


mardi 26 août 2014

À Gouarec


Accueillantes rousseurs
D'un centre-Bretagne désert
Ne pas s'y perdre

dimanche 24 août 2014

Pauvre? c'est nul; vieux ? c'est mauvais; vieux et pauvre ? imaginez...

 Je m'y remets, avec toute la patience nécessaire ... (Non, je n'ai pas tapé tout le texte ci-dessous ! Il est de mon  ami Manu : Je vous laisse juge).
 
20 août 2014
Pour la ministre de la santé lituanienne, l'euthanasie est une bonne solution pour les pauvres.
Le ministre de la Santé de la Lituanie, Rimante Salaseviciute, qui a prêté serment en juillet de cette année, a déclaré dans une interview à « radio informations » : « l'euthanasie est une bonne solution aux problèmes, pour les couches faibles de la société, n'ayant pas les moyens de se payer les soins médicaux ».
Cette déclaration a été reprise le jeudi 14 août, par le journal lituanien en ligne 15 min.


Mon commentaire : en effet, puisque les pauvres coûtent et ne rapportent rien, pourquoi ne pas les faire mourir ? Idée lumineuse et logique dans un système social et économique qui fait la chasse au gaspi. Mais nullement originale puisque les plus pauvres meurent déjà par millions... de famine. Mais on peut faire mieux : c'est bête de perdre inutilement quelque 50 kilos de viande parfaitement comestible. Je propose donc que les pauvres soient abattus, dépecés et consommés. Leur peau, une fois tannée, pourrait, en outre, servir pour faire des abat-jours ; cela a déjà été fait par l'épouse d'un directeur de camp d'extermination nazi... Mais reste une question  : Où s'arrêter ? Jusqu'où peut-on éliminer les pauvres ? Et, sans pauvres, comment deviendra-t-on riches ? 
Mais les pauvres ne sont pas les seuls qui coûtent trop cher. Les trop vieux aussi. Alors, comme c'est le devoir de chaque citoyen de participer à la réflexion collective, voici mes propositions :
1.  Une loi déclarera vital le maintien de l’équilibre naturel entre les tranches d’âge comme sont nécessaires l’équilibre entre les espèces animales et la préservation de la biodiversité.
2.  Une fois admise cette nécessité, il en découle la salutaire nécessité de procéder à l’abattage sélectif des individus en surnombre qui mettent en péril, par leur prolifération excessive et le coût de leur santé, l’équilibre de la société tout entière.
3. La Loi instituera un permis de chasse spécial pour les centenaires (ou/et nonagénaires, etc.) et établira des quotas. Sera autorisé l’abattage d’un certain nombre de vieux par région, par sexe et surtout en fonction des revenus personnels. Seront abattues en priorité les personnes percevant les plus fortes retraites, celles nécessitant les soins les plus coûteux, celles ayant gagné au « TAC au Tac gagnant à vie », le tout à déterminer à chaque exercice budgétaire jusqu’à ce que soit atteint l’équilibre des comptes. C’est exactement ce que pratiquaient les sociétés primitives et fort sages, donc : c’est très écologique. Nul ne trouvera rien à reprocher à une telle mesure naturelle. Le célèbre film « Oursou-Ouzoula » est là pour le garantir. Manuel Colinas

jeudi 21 août 2014

Pause, à l'insu de mon plein gré ...

Ce blog se met en pause pour quelques jours : Je me suis fracturé le bras droit hier ... Et je suis droitier, bien sûr.
Une sortie de baignoire trop rapide, sur carrelage mouillé, et voilà : 4 semaines de plâtre !
À bientôt !

lundi 18 août 2014

La disparition de Pierre Vassiliu, dans "l'Humanité"

Un petit virage ...

Après cette escapade en Méditerranée-ouest, en octobre 2013, nous avons en prévision un autre voyage, en seconde quinzaine de septembre. mais chut ! Nous passerons aussi au rapport !

En attendant, quelques nouvelles (assez importantes pour nous) : Nous avons décidé (parce que nous avons bien besoin, et parce que nous ne le valons bien !) de "lever le pied" en ce qui concerne l'action politique. Ce qui ne nous empêche pas de continuer à réfléchir (pas seulement pour nourrir nos neurones) pour un monde meilleur.
J'ai rafraîchi, dans les rubriques de la colonne de gauche, la liste des blogs d'écriture (suppression des blogs qui ne publient plus, correction des adresses pour ceux qui ont changé d'hébergeur ...), et nous vous proposons désormais ceci, en guise de publications :
- Des photos (récentes ou anciennes, personnelles ou non), accompagnées de leur "écrimage" (c'est tout de même l'objet de ce blog !)
- Des contributions à du brain-storming, pour celles et ceux qui aiment les tempêtes sous un crâne. je mettrai pour cela à contribution un ami très lecteur, très politique, et (à mon sens) très avisé : Manu.
- Des coups de gueule ou de coeur, au jour le jour. Par exemple, des chants, textes, que vous ne trouverez pas dans les "grands media" ... comme cette nouvelle chanson du Suisse Michel Bühler : GAZA.

Gaza

Tous les matins combien de morts
Faut-il ajouter au décompte,
Combien de cadavres encore
Faut-il ajouter à la honte?
Gaza bombardée, massacrée,
Enfants ciblés, mères en pleurs...         
Deux mots viennent à mes pensées:
La lâch'té et le déshonneur

C'est un peuple mis en prison               
Qu'on mutile, qu'on asphyxie.                
Ecoles, hôpitaux, maisons,
Rien n'échappe au feu des bandits.
Ecrasées l'échoppe et la rue,                
Le marché, la chambre aux bonheurs.   
Et deux mots marquent ceux qui tuent:
La lâch'té et le déshonneur

Soldat planqué dans ton blindé              
Puissant comme vingt forteresses,
Dont un seul obus va briser,
Sans risque pour toi, vingt jeunesses;
Et toi pilote routinier     
'vec tes missiles de l'horreur,
Vous personnifiez à jamais                   
La lâch'té et le déshonneur

Et toi qui ordonnes, qui penses 
Et n'as, 'vec ton état-major,                   
Pas d'autre choix, dans ta démence,
Que de frapper encore plus fort,           
Que d'aller plus loin dans le crime         
Et d'infliger plus de douleurs,                
Tu incarnes au degré ultime                 
La lâch'té et le déshonneur

Non la lutte n'est pas égale
Entre mille avions, mille chars,
Cent mille bombes infernales    
Et un peuple enfermé, hagard.
Taisez-vous gens de propagande!
Porte-paroles, ambassadeurs,
Ne sont que menteurs qui défendent     
La lâch'té et le déshonneur

Voleurs de vallées de collines
Votr' rêv' semble être de saigner
Tous les enfants de Palestine    
De les tuer jusqu'au dernier!
Jusqu'où donc ira votre haine?   
Vous vous prenez pour des seigneurs...
Mais derrière vous comme une traîne:
La lâch'té et le déshonneur



 Et lui et elle et vous d'ici,
Femme ordinaire, simple passant,

Où sont votre rage et vos cris?

Le silence est assourdissant...

Et toi le premier d'entre nous

Veule, qui restes spectateur...

Voici que retombe sur nous

Ta lâch'té et ton déshonneur                 



Oh...

Combien de temps faudra-t-il pour

Que soient jugés les assassins?

Combien d'années, combien de jours

Pour que la paix ouvre ses mains

Combien de jours, combien d'années

Pour que vienne la fin des pleurs

Combien de temps pour oublier

La lâch'té et le déshonneur?


Michel Bühler

22 juillet 2014




samedi 16 août 2014

Une dernière balade sur "notre petit youyou" ?

 Une semaine de promenades entre luxe et volupté ... Honteux ? Oui, mais ... on en redemande !


































Alors, honte ? mais la honte, c'est si bon, parfois ...