Dans
le courant
d'une
onde pure
à
cheval
la
belle remontait
vers
l'aval
Pure
elle ne l'était plus
depuis
longtemps
pas
plus que l'eau
sur
ses cheveux blonds
l'eau
pure
du
courant
pas
si sûr
mon
enfant
Méfie-toi
des blondes
qui
jouent du pipeau
L'eau
de l'aval
l'eau
de l'amont
tout
est pipé
jeux
de dupe
sous
les jupes
jeux
de dés
Tu
es ruiné
Méfie-toi
des blondes
qui
jouent du pipeau
9 commentaires:
La chute est drôle. Plouf.
Jeu de dupe, oui en pleine actualité
Dupont dupond, nous voila dupé
Amicalement
Claude
C'est vrai, il faut toujours se méfier. :))
J'aime beaucoup ton poème, Loïc.
Passe une douce journée.
Oh, mais c'est que tu leur en mets un seau, aux blondes, Loïc ! Du moins à celles qui jouent du pipeau, nuance, de taille ... Ne trouve grâce que le cheval ;))) ! Poème percutant, accusateur, il n'y a pas que les blondes qui jouent du pipeau et troublent l'onde et la nature, bravo ! Bises.
Il fallait bien, Lenaig, trouver un bouc émissaire ! (blond, le bouc).
Très juste et nous les brunes, ne sommes que douceur et pureté :))
Ben voyons !
Dites-moi, est-ce vrai qu'il n'y a qu'en Bretagne que les vieilles dames - en principe - affirment que "les rousses, ça pue ... ?"
Rhooo "ça" pue pas plus que les autres quand elles se lavent et si tel était le cas les roux aussi!
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