Pierre Denic, De Molène à Sein |
Amoco Cadiz (acrostiche).
Arrogants, sans scrupules,
Misérables, assoiffés de dollars,
On ne veut pas y croire.
Catastrophe, apocalypse, pas de
mots…
On oublie tout, et on recommence.
Citadins, en bottes dans le
coaltar.
Abasourdis, accablés.
Désespérance.
Il y en aura d'autres ; la
puanteur s'est invitée en ville.
Zèle insensé dans la course aux
profits.
10 commentaires:
on n'en veut pas d'autres. Assez de ces désastres !
Superbe, texte et image. Oui le zèle insensé de la course aux profits
Horribles souvenirs avec des images, sorties de notre mémoire, qui affluent ...
Plus jamais ça !
Coucou rapide, suis débordée.
Bonne fin de semaine malgré le temps qui s'est dégradé ...
Bisoux, loïc
Ah oui je m'en souviens, terrible cata que ce naufrage... faune et flore martyrs... que dire, la course à "l'échalote" qu'importe les façons...
Hélas il y en aura certainement d'autres. Bravo pour ton poème. Bon week-end
Bonjour loïc,
Je ne me souviens pas de ça, mais ton poème est très beau, bon week-end, bises !
Je me souviens très bien de cette catastrophe.... Il y en a eu malheureusement d'autres par après !
Bonne fin de semaine et très gros bisous !
Lavandine
http://lorgnettedunjour.canalblog.com/
Je m'en souviens d'autant mieux que j'y suis allée.
Une des plus graves catastrophes écologiques visibles et scandaleuses dans sa soudaineté. Combien de catastrophes trop négligées car à bas bruit sur le long terme ou trop bien protégées par les lobbies qui en sont à l'origine ou en profitent ?
Belle fin de semaine
Le pire était l'odeur ...
Je m'en souviens très bien. C'est la stupéfaction, la colère et la tristesse. Il y en aura d'autres, comme tu le dis. Hélas.
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