Un sable si doré, des lumières d’Outremer, des rouleaux,
enchanteurs pour un surfeur… Me voici, seul, et un doux bruit,
répétitif, de roulement crissant près de mon oreille éveille ma
curiosité, et me sort de ma torpeur. La bouteille semble retrouver le
geste du viticulteur, qui la tournait régulièrement pour bonifier son
nectar. Mais ici elle se laisse délicieusement bercer par le flux et le
reflux, et son bouchon fendillé semble même sourire lorsqu’il vient me
titiller les orteils.
Mais… une bouteille à la mer, c’est fait pour un message, non ? C’est fait pour qu’on y découvre une vérité importante, la « phrase de la vie » d’un être au bord du gouffre, un dernier espoir…
Je l’ai ouverte, vite (impossible d’y résister, bien sûr), j’ai déroulé le parchemin, puis, encore plus vite, je l’ai replacé, j’ai rebouché et jeté au loin la bouteille, dans l’eau, où elle a disparu…
J’ai pris mes affaires, je m’en suis allé.
Mais… une bouteille à la mer, c’est fait pour un message, non ? C’est fait pour qu’on y découvre une vérité importante, la « phrase de la vie » d’un être au bord du gouffre, un dernier espoir…
Je l’ai ouverte, vite (impossible d’y résister, bien sûr), j’ai déroulé le parchemin, puis, encore plus vite, je l’ai replacé, j’ai rebouché et jeté au loin la bouteille, dans l’eau, où elle a disparu…
J’ai pris mes affaires, je m’en suis allé.
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Ah, oui… j’avais lu : « S’il vous plaît, laissez-moi tranquille… »
1 commentaire:
le bouteilles à la mer
on adore
un coup d œil toujours sur l estran pour voir si part hasard il n en flotterais pas l une
mais non que du goémon qui traine
bonne journée
kenavo
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