Hiroshima (Georges Moustaki)
Par la colombe et l'olivier,
Par la détresse du prisonnier,
Par l'enfant qui n'y est pour rien,
Peut-être viendra-t-elle demain.
Par la détresse du prisonnier,
Par l'enfant qui n'y est pour rien,
Peut-être viendra-t-elle demain.
Avec les mots de tous les jours,
Avec les gestes de l'amour,
Avec la peur, avec la faim,
Peut-être viendra-t-elle demain.
Avec les gestes de l'amour,
Avec la peur, avec la faim,
Peut-être viendra-t-elle demain.
Par tous ceux qui sont déjà morts,
Par tous ceux qui vivent encore,
Par ceux qui voudraient vivre enfin,
Peut-être viendra-t-elle demain.
Par tous ceux qui vivent encore,
Par ceux qui voudraient vivre enfin,
Peut-être viendra-t-elle demain.
Avec les faibles, avec les forts,
Avec tous ceux qui sont d'accord,
Ne seraient-ils que quelques-uns,
Peut-être viendra-t-elle demain.
Avec tous ceux qui sont d'accord,
Ne seraient-ils que quelques-uns,
Peut-être viendra-t-elle demain.
Par tous les rêves piétinés,
Par l'espérance abandonnée,
À Hiroshima, ou plus loin,
Peut-être viendra-t-elle demain,
La Paix !
Par l'espérance abandonnée,
À Hiroshima, ou plus loin,
Peut-être viendra-t-elle demain,
La Paix !
2 commentaires:
Un très beau texte... Belle journée avec nos amitiés
Moustaki manquera à beaucoup.
Merci pour ce texte, Loïc.
Passe ne douce journée.
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