La
tondeuse passe
les
plus belles fleurs doivent survivre
pleure
la primevère.
Seul
sur le pont inondé
envoûté
que
j'aime ton crachin.
Ceux-ci
inspirés
dont
les regards m'impressionnent
écrivent
en eux-mêmes.
Le
tableau pleure
sur
mes doux souvenirs enfuis
saura-t'il
les redire ?
Loïc
La tondeuse est sans pitié, il ni y a pas que le tableau qui pleure, même le ciel verse sa larme
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Très justes tes Haïkus.
RépondreSupprimerAh côté tondeuse mieux vaut ne pas être gauche, madame va râler !
RépondreSupprimerMadame va râler ? ça ne risque pas : C'est elle qui tond, et c'est elle qui contourne chaque primevère ...
RépondreSupprimerEt moi ? je manie le fouet.
LOIC
Bonjour Loïc. Infinie poésie, merci ! Bises.
RépondreSupprimerpauvres fleurettes après le passage de la tornade de tondeuse !!
RépondreSupprimerquel malheur-- elles sont sans défense-
on va créer un comité de défense !! lol
bon week-end- amitiés-
Alors les haïkus, c'est pas mon truc du tout mais je trouve néanmoins beaucoup de poésie à tes lignes.
RépondreSupprimerPour Anne : Toutes mes excuses, j'ai supprimé ton commentaire par inadvertance ! Tu disais que ton haïku préféré est celui de la primèvère : Pour moi aussi !
RépondreSupprimerLOIC
D'une primevère à l'autre
RépondreSupprimerun regain après la tonte -
clin d'œil malicieux
Merci ABC, c'est délicieux !
RépondreSupprimerLOIC