Dans l’esprit des « Exercices de styles », de Raymond Queneau …
Sur un quai de gare, une jeune femme rencontre un homme qui lui jette un regard, puis elle entre dans la boulangerie.
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Sur un quai de gare
Gare, gare, gare au train
Prends garde à toi
Une jeune femme
J’te l’avais bien dit
Toutes sont des pièges
Gare aux appâts
Elle rencontre un homme
Elle l’a cherché
Il l’a cherchée
C’est le destin
Ils le voulaient bien
Elle lui jette un regard
Enflammé le fond des yeux
Piégé le p’tit riquiqui
Elle entre dans la boulangerie
Et commande une couronne
C’est ce soir qu’elle se marie
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... et, avec sa couronne, elle sera la reine de la fête !
RépondreSupprimerC'est ce qu'on appelle un coup de foudre en gare. Foudrangare ...
Pourquoi le monsieur est un petit riquiqui ???
Bon jeudi, pluvieux, venteux et ... froid !
Bisoux, loïc
J'aime beaucoup ton exercice de style à la Queneau. Difficile mais réussi vraiment. Après qui a piégé l'autre ? Belle journée
RépondreSupprimerAh j'aime ....des vers qui s'enchaînent presque comme une métaphore filée....
RépondreSupprimerJe te souhaite une belle journée et je te fais de gros bisous !
Lavandine
http://lorgnettedunjour.canalblog.com/
Yes ! Sympatoche comme tout cet exercice là !
RépondreSupprimerpour Dom : C'est la femme, qui le considère comme un p'tit riquiqui ! moi, je n'y suis pour rien ...
RépondreSupprimerune femme qui sait ce qu'elle veut !!
RépondreSupprimerenlevez c'est pesé !
bel exercice , merci !!
amitiés !
brillant et très habile, bravo
RépondreSupprimerD'accord ils se sont trouvés, mais pourquoi serrait-ce forcément une catastrophe !
RépondreSupprimerLes femmes sont intransigeantes ! lolll ;-)
RépondreSupprimerBravo pour ton habileté, Loïc, c'est très réussi!
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