jeudi 29 septembre 2016

1978 ...

Pierre Denic, De Molène à Sein

Amoco Cadiz (acrostiche).



Arrogants, sans scrupules,

Misérables, assoiffés de dollars,

On ne veut pas y croire.

Catastrophe, apocalypse, pas de mots…

On oublie tout, et on recommence.

Citadins, en bottes dans le coaltar.

Abasourdis, accablés.

Désespérance.

Il y en aura d'autres ; la puanteur s'est invitée en ville.

Zèle insensé dans la course aux profits.


10 commentaires:

  1. on n'en veut pas d'autres. Assez de ces désastres !

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  2. Superbe, texte et image. Oui le zèle insensé de la course aux profits

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  3. Horribles souvenirs avec des images, sorties de notre mémoire, qui affluent ...
    Plus jamais ça !
    Coucou rapide, suis débordée.
    Bonne fin de semaine malgré le temps qui s'est dégradé ...
    Bisoux, loïc

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  4. Ah oui je m'en souviens, terrible cata que ce naufrage... faune et flore martyrs... que dire, la course à "l'échalote" qu'importe les façons...

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  5. Hélas il y en aura certainement d'autres. Bravo pour ton poème. Bon week-end

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  6. Bonjour loïc,
    Je ne me souviens pas de ça, mais ton poème est très beau, bon week-end, bises !

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  7. Je me souviens très bien de cette catastrophe.... Il y en a eu malheureusement d'autres par après !
    Bonne fin de semaine et très gros bisous !
    Lavandine
    http://lorgnettedunjour.canalblog.com/

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  8. Je m'en souviens d'autant mieux que j'y suis allée.
    Une des plus graves catastrophes écologiques visibles et scandaleuses dans sa soudaineté. Combien de catastrophes trop négligées car à bas bruit sur le long terme ou trop bien protégées par les lobbies qui en sont à l'origine ou en profitent ?
    Belle fin de semaine

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  9. Je m'en souviens très bien. C'est la stupéfaction, la colère et la tristesse. Il y en aura d'autres, comme tu le dis. Hélas.

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