"Coup de coeur", ou "Coup de gueule", ou "En vadrouille" ?
Ce matin, j'hésite pour classer mon message dans une quelque rubrique ...
C'est juste avant d'arriver à Antraïgues (avec un tréma, oui) que nous avons appris qu'Allain Leprest avait choisi d'en finir avec la camarde, avec son cancer.
A Antraïgues, flottait l'esprit -déjà installé sans doute - de Jean Ferrat, mais aussi, grâce aux affiches encore en place, on apprenait qu'Allain Leprest était là, dans un festival, un mois auparavant.
J'ai découvert ce chanteur-poète en octobre 2010, en concert chez moi, près de Quimper. Il fera désormais de ces éclairs entr'aperçus, fulgurant, mais - à la différence de beaucoup d'autres - il laissera des traces, car on ne se trouve pas sur son chemin sans en être marqué.
Une émission de radio, ce matin sur France-Inter ( 4min45), que vous ne pourrez écouter que jusqu'au 9 septembre :
http://www.franceinter.fr/reecouter-diffusions/139333
"Le Dauphiné Libéré", 25 août 2011
J'ai découvert Allain Leprest grâce à un article du Courrier de l'Ouest, au lendemain de sa disparition. Comme vous, j'ai rendu hommage sur mon blog à ce chanteur écorché vif.
RépondreSupprimerBonjour, J'ai découvert moi aussi il y a peu ce chanteur qui a la couleur de Jean Roger Caussimon.On ne peut oublier en effet.
RépondreSupprimer